Notre Mission
« Grand événement incontournable, speakers exceptionnels! »
– Japan Naturopathic Medicine Society
L’Excellence en Médecine Traditionnelle, Complémentaire & Intégrative
L’ICNM est une organisation internationale à but non lucratif dédiée à l’enseignement supérieur et au plus grand congrès mondial dans le domaine de la médecine traditionnelle, complémentaire et intégrative. Nous collaborons étroitement avec 205 organisations professionnelles, universités et centres de recherche pour promouvoir et partager les meilleures pratiques dans tous les domaines de cette discipline.
Cet événement exceptionnel rassemble des délégués de 55 pays, créant une plateforme dynamique d’échanges et d’apprentissages. Le programme est officiellement accrédité par l’OBMN, garantissant la qualité et la pertinence des contenus présentés.
Les parties prenantes des secteurs public et privé du monde entier se réunissent pour explorer de nouvelles approches, partager leurs expériences et enrichir notre compréhension collective des défis et des opportunités dans le domaine de la santé. Nous vous invitons à nous rejoindre pour contribuer à cette dynamique et faire avancer l’excellence en médecine intégrative.
Editions précédentes:
2013 Paris 5-7 Juillet, 2014 Paris 4-6 Juillet, 2016 Barcelone 1-3 Juillet, 2017 Londres 30 Juin-2 Juillet,
2018 Londres 6-8 Juillet, 2019 Londres 5-7 Juillet, 2023 Paris 7-9 Juillet, 2024 Barcelone 5-7 Juillet, 2025 Paris 4-6 Juillet.
Le Comité Exécutif
Réunir les experts de 55 pays!
A. NARBONI ND, TCM
CANADA – FRANCE
Présidente
O. LEOST ND
ROYAUME-UNI
Comité Exécutif
P. COTTINGHAM ND
NOUVELLE ZÉLANDE
Comité Exécutif
DR A. BOUDET ND
ETATS UNIS
DR A. AGGARWAL ND
KENYA
Comité consultatif
DR S. CZERANKO, ND
CANADA – ETATS UNIS
Membre Fondateur
AC. MERET ND
FRANCE
past Secrétaire Générale
D. LÉAUD-ZACHOVAL ND
FRANCE
P. REPON ND
FRANCE
Ambassadrice
C. E. AMEY ND
ITALIE
Comité consultatif
DR J. HWANG ND
CANADA
Ambassadrice
C. PORTELLA ND
BRESIL
A. VERET ND
FRANCE
Comité Exécutif
F. LAVAND’HOMME ND
BELGIQUE
Comité consultatif
S. LEMOIGNE
ESPAGNE
Comité consultatif
DR F. SONG JR ND
ETATS UNIS
D. SCHLEICH PHD
ETATS UNIS
Membre Fondateur
E. GREENWOOD ND
AUSTRALIE & NZ
Ambassadrice
D. PARADIS ND
CANADA
Ambassadeur
L. MILICI ND
ESPAGNE
A. GUEPRATTE ND
FRANCE
Ambassadrice
C. MAIA ND
PORTUGAL
Ambassadrice
L. LIMA ND
FRANCE
Ambassadrice
C. LILBURN
AUSTRALIE
Ambassadrice
Invitation du Président
Bienvenue au Congrès Mondial ICNM
Chère amie, cher ami,
C’est avec un grand plaisir que je vous annonce que le 9e Congrès Mondial ICNM se déroulera à Paris. Cet événement majeur est organisé en collaboration avec 205 prestigieuses institutions de médecine traditionnelle, complémentaire et intégrative à l’échelle mondiale.
ICNM représente aujourd’hui la plus grande plateforme mondiale pour les professionnels de santé, rassemblant des participants de 55 pays. Nous sommes impatients de dévoiler 48 nouvelles recherches et d’accueillir 30 conférenciers-experts de renommée internationale. De plus, notre espace dédié aux universités et associations, ainsi que notre hall d’exposition innovant, offriront de nombreuses opportunités d’échanges et de collaboration.
Le Comité Scientifique travaille activement à la préparation d’un programme d’excellence, aligné sur notre engagement envers l’innovation, l’expertise et le partage des connaissances. Ce congrès constitue une occasion unique d’améliorer nos pratiques professionnelles et de favoriser des échanges enrichissants.
Je me réjouis de vous accueillir à cet événement incontournable et de partager ensemble cette expérience enrichissante.
Chaleureusement,
A. Narboni ND, MTC
Présidente
ICNM
L’Excellence en Médecine Traditionnelle,
Complémentaire & Intégrative
Ses origines
Par sa nature et ses fondements, la médecine complémentaire se rattache résolument à la tradition médicale de la Grèce antique. Les principes qui président de nos jours doivent beaucoup au « Corpus hippocratique » qui a constitué la base de la médecine occidentale. En voici les grandes lignes.
Primum non nocere – D’abord ne pas nuire. Les symptômes d’une maladie (la fièvre, par exemple) peuvent être des manifestations d’un processus de guérison. Par conséquent, leur suppression pure et simple peut causer plus de tort que de bien. Les interventions thérapeutiques doivent donc favoriser le processus naturel de guérison et non le contrer.
Vis medicatix naturae- La nature recèle son propre pouvoir de guérison. Le corps possède la capacité inhérente de préserver la santé et de la rétablir lorsqu’il l’a perdue. Au coeur de l’organisme vivant se trouvent les forces de vie permettant d’y parvenir. Le rôle du médecin ou du thérapeute consiste à faciliter l’accès à ces forces en découvrant et en éliminant les obstacles qui s’y opposent.
Tolle causam – Découvrir et traiter la cause. Le médecin doit rechercher les causes de la maladie plutôt que de tenter d’en supprimer les symptômes. La maladie est vue comme l’aboutissement ultime d’un dérèglement particulier. Le rétablissement de l’équilibre naturel ne peut se faire qu’en travaillant sur les causes à l’origine de ce dérèglement.
Docere – Enseigner. Le médecin doit guider son patient sur la voie de la guérison et l’aider à préserver sa santé de façon naturelle. Il doit donc lui enseigner à prendre soin de lui-même et à prendre en charge son propre processus de guérison, selon les principes suivants :
- L’approche holistique. Le thérapeute explique au patient que sa maladie est le fruit d’un ensemble complexe d’interactions entre les plans physique, mental, émotionnel et spirituel, et qu’il devrait intervenir sur chacun d’eux.
- L’alimentation. Il lui enseigne comment se nourrir de façon à obtenir tous les nutriments nécessaires à sa santé, afin d’éviter de recourir à des médicaments de synthèse ou à des interventions chirurgicales.
- La prévention. Il lui enseigne enfin comment agir sur son environnement et son mode de vie afin de maximiser ses forces et son bien-être et, au bout du compte, de réduire les risques de maladie
À partir de la fin du XIXe siècle, au moment où toutes les sciences connaissent un essor fabuleux, la médecine découvre et intègre une foule d’approches empiriques allant de l’homéopathie à l’hypnose, en passant par les pharmacopées de diverses cultures. Aux États-Unis, le mouvement de la médecine éclectique a recours à de nombreuses approches médicales venues de la vieille Europe, d’Asie et des peuples amérindiens. Une panoplie de préparations d’herboristerie sont également fort populaires auprès des médecins de l’époque.
C’est dans cette mouvance que l’Allemand Benedict Lust (1870-1945), qui était médecin, ostéopathe et chiropraticien, fonde officiellement la médecine complémentaire après avoir émigré aux États-Unis. En 1902, il inaugure, à New York, la première école : on y enseigne l’hydrothérapie, l’herboristerie, la nutrition, la physiothérapie, la physiologie, la psychologie et une foule d’autres techniques thérapeutiques.
C’est ainsi que, dans le premier, s’ouvriront aux États-Unis quelques douzaines d’écoles offrant des cours d’une durée de quatre ans. Ces formations étaient souvent associées à des cours avancés en homéopathie ou en chiropratique, des techniques médicales qui connaissaient également à ce moment un essor important.
Parallèlement à ce foisonnement, se développait une médecine davantage axée sur les interventions chirurgicales dites « lourdes » et sur les médicaments de synthèse issus de l’industrie pharmaceutique naissante. Cette approche, perçue comme étant davantage « scientifique », finit par gagner la faveur des facultés de médecine des grandes universités de l’Occident. C’est cette direction que prend la médecine au cours des décennies qui suivent. Seuls les médecins formés dans les facultés de médecine sont alors autorisés à diagnostiquer et à traiter les maladies. Résultat : la majorité des écoles ferment leurs portes.
Cependant, à partir des années 1970, on connaît un regain de popularité auprès du public. Quelques universités américaines commencent même à offrir une solide formation de quatre ans.
En 1983, l’Organisation mondiale de la Santé recommandait aux autorités médicales de tous les pays d’intégrer la médecine complémentaire aux services de santé publics.